• Furnes (1777-1971)(geopunt.be)

    voir la fiche sur le beffroi de Furnes

    Au IXe siècle, Furnes est une bourgade fortifiée à la suite des raids des Normands.
    Le 20 août 1297, Furnes fut le théâtre d'une bataille dans la lutte incessante entre les villes flamandes et le roi de France.
    La seconde moitié de ce siècle sera marquée par les malheurs apportés dans la région par les guerres de Louis XIV. Vauban construisit d'épaisses fortifications autour de la ville dont on peut encore voir les traces aujourd'hui. Ces fortifications servirent à Furnes pour devenir une des places fortes de la Barrière.

    source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Furnes


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  • Gravelines (1850-1950)(remonterletemps.ign.fr)

    voir la fiche sur le beffroi de Gravelines

    Gravelines française
    Conquise par la France en 1658, Gravelines est remaniée et intégrée à la deuxième ligne du Pré Carré en 1678. Durant ces années, les ouvrages espagnols sont restaurés et les chantiers sont poursuivis. Les remparts subissent une rénovation importante.
    Dans la place, Vauban prévoit la construction de bâtiments militaires et civils (citerne casematée, four à pain, casernes,…) et transforme le château médiéval en arsenal.

    État actuel
    L’ensemble des fortifications de Gravelines et les fossés en eau subsistent et sont ouverts à la visite. L’arsenal accueille le musée du Dessin et de l’Estampe originale. Seul un point de mouillage à l’embouchure du canal de l’Aa, nommé fort Saint-Philippe, rappelle l’emplacement du fort construit par les Espagnols. Le plan relief de 1756 réalisé au 1/600e, réparé en 1771 et 1819, est conservé au Musée des Beaux Arts de Lille. Une copie est présentée au musée du Dessin et de l’Estampe de Gravelines.

    source : http://www.sites-vauban.org/Gravelines


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  • Guise (1850-1950)(remonterletemps.ign.fr)

    En 1673, lorsqu’il élabore le Pré Carré, Vauban n’y intègre pas Guise immédiatement, l’estimant inutile. Louvois, le Ministre de la Guerre, n’est pas de cet avis et l’envoie sur place le 19 janvier 1673. Après cette visite, Vauban décide de la conserver. Néanmoins, il n’y réalise aucun ajout, seules des réparations sont réalisées, de 1673 à 1683.

    Etat actuel
    Le château de Guise existe toujours, bien qu’il ait servi de carrière et décharge pendant trente ans. Depuis 1953, l’association Le Vieux Manoir, fondée par Maurice Deton, procède à sa restauration via des chantiers de jeunes bénévoles. Un musée a été créé dans les casemates de l’un des trois bastions subsistants : le bastion de l’Alouette. Ce musée décrit l’évolution de l’armement durant les mille ans couverts par l’existence du château et la vie quotidienne dans celui-ci au cours de ces mêmes mille années. Les deux autres bastions subsistants, de la Vieille Ville et de la Charbonnière, ont été restaurés et peuvent se visiter sur renseignements auprès de l’ASBL. Le donjon médiéval, une tour de guet et la prison d’état subsistent également. Des autres constructions intérieures (casernes et collégiale), il ne subsiste que des fondations et parfois des caves. Une partie des remparts a été démolie pour des raisons de sécurité dans les années 1950.
    Guise ne doit pas grand-chose à Vauban. C’est davantage un témoignage de la fortification bastionnée française sous François Ier et Henri II.

    source : http://www.sites-vauban.org/Guise


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  • Fort de Knokke (1777-1971)(geopunt.be)

    Le Fort de la Knoque (ou Fort de Knock) était un ouvrage fortifié de la West-Flandre, au confluent de l'Yser et de l'Ieperlee. Ce fort a joué un rôle stratégique pendant les périodes espagnole et autrichienne des Pays-Bas méridionaux (XVIIe et XVIIIe siècles).

    Au XVIIe siècle, la région de Dixmude, Ypres, Furnes et Nieuport a été un enjeu stratégique dans le cadre de la guerre franco-espagnole. La Paix des Pyrénées (1659) l'attribue à l'Espagne. Le roi Philippe IV d'Espagne fait construire en 1662 un fort à Rheninge, sur le territoire de la Généralité des Huit Paroisses1.
    Cette région est reprise par l'armée française en 1667 pour être attribuée à la France lors des traités d'Aix-la-Chapelle (1668) et de Nimègue (1678). Louis XIV fait alors transformer ce fort par la Vauban en une Forteresse tout à fait régulière, flanquée de quatre bastions bien revêtus, outre deux demi-lunes du côté où il n'y a pas d'inondations.

    source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_la_Knocque

    Etat actuel
    Sur l'Atlas des Buurtwegen du milieu du XIXe siècle, le fort a déjà disparu. Cette carte mentionne encore "l'ancien fort de knock" et montre un hameau appelé "De Knock", quelques canaux restants et les limites des parcelles montrent encore les anciens bastions. Aujourd'hui encore, les limites de la parcelle et certains des fossés indiquent l'ancienne forteresse.

    source : https://nl.wikipedia.org/wiki/Fort_Knokke


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  • La Bassée (1850-1950)(remonterletemps.ign.fr)

    voir la fiche sur le beffroi de La Bassée

    La Bassée encore à demi-entourée d'une immense marais devient une place religieuse et une place forte, disposant d'une place d'armes, habitée par un gouverneur et le « lieutenant du roy », lesquels gèrent un important corps de garde et un « magasin de guerre ». Cette garnison a son pendant à Aire-sur-la-Lys et à Saint-Omer qui sont également chargés de veiller sur le canal de Noeufossé, véritable fortification protégeant le Sud de la région des invasions et menaces venant du nord depuis sa construction par les armées de Baudouin VI vers l'an 1000.

    Lors de la Première Guerre mondiale, la ville a particulièrement souffert et est presque totalement rasée. Les séquelles de guerre y sont restées visibles durant plus de 10 ans, temps de la reconstruction (en 1924, est posée la première pierre de l'hôtel de ville) avant encore de nouveaux bombardements en 1939-1945.

    source : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Bassée


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