[rolã] n.m. Représenté en statue sur pied, plus rarement à cheval, plus rarement en mascaron, il porte très souvent une épée, un bouclier et un ceinturon. Il est le symbole de la liberté des villes (Stadtrechte), notamment des villes de la Hanse, c'est...
Lire la suiteBelfried -> Bergfried Bergfried (richtiger B e r c h f r i t, altdeutsch bercfrit, pü rfrit etc., franz. Beffroi. später Donjon, engl. Keeptower), der bei den meisten Burgen (mitunter mehrfach) vorhandene Hauptturm von verschiedenstem Grundriß, als Warte,...
Lire la suiteBergfried m. ‘Hauptturm einer Burg’, ahd. ber(g)frit (Hs. 12. Jh.), mhd. bervrit, -vride, bercvrit ‘Angriffs- oder Verteidigungsturm, Befestigung’, ursprünglich beweglich (s. unten), später fest gebaut, volksetymologisch angelehnt an ↗bergen ‘in Sicherheit...
Lire la suitebelfry (n.) c. 1400, "wooden siege tower on wheels" (late 13c. in Anglo-Latin with a sense "bell tower"), from Old North French berfroi "movable siege tower" (Modern French beffroi), from Middle High German bercfrit "protecting shelter," from Proto-Germanic...
Lire la suitebelfort [toren met klokken] {belfroet [wachttoren, toren, groot gebouw met toren] 1276} < oudfrans beffroi, middeleeuws latijn belfredus, berfredus, berfridus, van germ. herkomst, vgl. oudhoogduits ber(g)frit en middelnederlands berchvrede [(verdedigings)toren],...
Lire la suitebelfort zn. ‘toren waarin de stadsklok hangt’ Mnl. barfrot ‘klokketoren?’ [1263-77; CG I, 103], vpt belefroit ‘op het belfort’ [1276, Brugge; CG I, 306], beelfort [1337; MNW smarte]; vnnl. de groote clocke upden belfort dezer stede [1586; WNT klok I]....
Lire la suiteUn beffroi du travail est une cheminée d'usine. Origine Les cheminées sont des repères, des symboles identitaires et signalent des lieux d'histoire industrielle, évoquent la production, l'ingéniosité humaine mais évoquent aussi la douleur et la mort présentes...
Lire la suiten.m. Étymologie : emprunt à l'italien parapetto «id.» (depuis le XIIIe siècle), composé de para- (tiré de parare «protéger», cf. pare- et parer) et de petto «poitrine», du latin pectus. La partie haute d'une tour, protégeant les défenseurs et guetteurs...
Lire la suiten.m. Étymologie : emprunté à l'italien merlone, attesté au sens de «créneau» depuis 1561, dérivé augmentatif de merlo «id.», du latin médiéval merulus «id.» (Xe s.), probablement issu par métaphore du latin merulus «merle». La partie haute du parapet,...
Lire la suite[ra:dskelder] n.m. Cave du Conseil en français, qui renfermait la salle de restaurant des échevins. Cette tradition ne se rencontre que dans les pays germaniques : Menin, Gand, Roulers, Sluis, en Belgique, et Hagen, Witten... en Allemagne. De nos jours,...
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