• au début du XVIIe s. avec la chapelle Notre-Dame des Ardents au centre, la Halle échevinale à droite et la fontaine au change à gauche. Construite près des aubettes dans changeurs, vers 1232, c'était l'une des huit fontaines publiques qui recevaient, par la rue actuelle des Buisses, les eaux de la rivière de Fives, la Falesque (Phalecque), après son achat par la ville en 1285. C'est là que le faux Baudoin IX (le vrai serait mort pendant la croisade) sera condamné en 1225, promené dans toutes les villes du Comté de Flandre sous l'autorité de Jeanne de Constantinople, puis de retour à Lille, il sera mis au pilori sur le marché entre 2 chiens et pendu en octobre.
    La Vieille Bourse sera construite quelques temps après cette vue.


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  • à la fin du XVIe s. Le greffier a représenté l'exécution sur le côté gauche du manuscrit. Les différentes sentences au XVIe siècle étaient : les galères, la décapitulation, la pendaison, le feu ; certains condamnés étaient rompus vifs ; les faux monnayeurs étaient bouillis dans une chaudière ; d'autres avaient les pieds brulés à petit feu ; avant certains supplices, comme augmentation de la peine, on procédait à l'ablation du poing ou de la langue ; la fustigation et le banissement étaient d'un usage fréquent.


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  • de Lille insula. Ryssele = Ryssele, Urbium totius Belgii seu Germaniae inferioris nobiliorum & illustriorum tabulae 

    Sur cette carte d'une autre main, la Maison de la Ville semble plus conforme à ce qu'on en sait : un beffroi sur la Grande Place.

    Par ailleurs, le reste est identique : à gauche St Etienne, à droite St Maurice, et dans le bas à gauche, Le Palais Rihour (la Cour Impériale).

    source : www.geoweb.venezia.sbn.it 


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  • Aspect du Palais Rihour quand il est encore appelé Cour de l'Empereur (ou Cour Impériale).

    source : www.geheugenvannederland.nl


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  • On règle le service de guet selon les horloges de Saint Sauveur (près de l'actuel Hôtel de Ville) et de Sainte Catherine (dans le vieux-Lille).

    En 1826, le guetteur ira à l'Eglise Sainte Catherine, quand le beffroi du Palais Rihour est démoli.

    source : www.geheugenvannederland.nl


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